Les images de la Concélébration Eucharistique ont été transmises en direct par « Antenne2 ». Pendant la célébration il se produit un fait insolite devant les trois évêques qui célébraient à l’autel: au centre il y a monseigneur Louis-Marie Billé, à l’époque Archevêque de Lyon (depuis 1998) et président de la Conférence épiscopale Française (de novembre 1996 à novembre 2001), créé cardinal en 2001 et disparu le 12 mars 2002, à sa droite (à gauche sur la photo) Monseigneur Jean-Marie Lustiger à l’époque archevêque de Paris et à sa gauche (à droite sur la photo) nous voyons le Cardinal Pierre Eyt, à l’époque archevêque de Bordeaux, disparu le 11 juin 2001.
Sur l’autel, Monseigneur Billé a à “consacrer” deux grandes hosties “dorées” d’environ 20-24 cm utilisées fréquemment en France dans les grandes occasions, lors des célébrations eucharistiques. À l’offertoire, les deux hosties sont élevées et sur le film elles apparaissent appuyées l’une sur l’autre, adhérant parfaitement à la patène et entre elles, formant un corps unique, à tel point qu’on ne s’aperçoit pas qu’il y en a deux et pas seulement une seule. Sur le film, différents encadrements les reprennent dans cette position et il n’y a aucun doute que les deux Hosties sont physiquement appuyées l’une sur l’autre et adhèrent à la patène.
Au moment de l’épiclèse, c’est-à-dire lorsque les prêtres étendent les mains sur le pain et sur le vin en invoquant l’Esprit Saint, on constate un phénomène insolite. On voit clairement que l’hostie supérieure commence à se détacher de celle de dessous et se soulève. Un force-poussée mystérieuse et délicate investit l’hostie de façon impressionnante et la soulève d’un mouvement à la fois rapide et doux, la faisant osciller trois quatre fois dans l’air pour ensuite la mette en position horizontale et la laisser délicatement suspendue à environ deux centimètres de celle de dessous. Les hosties restent ainsi parallèles et éloignées l’une de l’autre jusqu’à la fin du “Canon”.
La reprise télévisée met en évidence les différents moments de la cérémonie pendant laquelle le célébrant bouge, se déplace et il est ainsi possible de voir, à travers les deux hosties, l’une soulevée dans l’air et l’autre adhérente à la patène, la couleur des vêtements liturgiques portés par le célébrant, les mains, la couleur blanche de l’aube et du mur. Au centre des hosties on peut voir une lumière particulière et intense qui semble presque un « souffle » d’énergie qui tient délicatement l’hostie supérieure soulevée et les unit entre elles. De plus, lorsque l’évêque élève l’hostie supérieure en prononçant les paroles du Seigneur Jésus : « Ceci est mon Corps offert pour vous », nous constatons une luminosité particulière s’en dégager et rayonner autour d’elle, rendant aussi les mains du célébrant lumineuses. Pendant qu’il l’élève on a l’impression qu’elle précède le mouvement même des mains du prêtre et les entraine vers le haut avec elle.
Le film avec ces images est assez long et riche en premiers plans, offrant de cette façon la possibilité d’avoir, avec une certitude raisonnable, qu’il ne s’agit absolument pas d’une illusion d’optique ou de défaut de prospective.
Des experts en la matière, suite à un examen attentif, ont exclu de façon absolue une manipulation technique des images. Le signal lumineux est unique et tellement bien inséré au cours de la célébration que cela exclut la possibilité de trucages et d’illusions d’optiques. Il n’y a pas que cela ; les spectateurs proches du phénomène sont déconcertés pour ne pas dire embarrassés et résistants à admettre ce qui se produit sous leurs yeux et qu’ils peuvent toucher du doigt. Ils semblent même choqués par ce qui se passe ; ils ne s’attendaient absolument pas à un fait aussi embarrassant qui de plus leur impose une décision à prendre problématique.
Le fait s’est réellement produit à cette occasion et à cette date.
Plusieurs personnes, dans différentes régions de la France ont enregistré sur vidéocassette la célébration en même temps que la transmission en direct et sont encore en possession de celles-ci. En outre, la société catholique qui détient les droits sur de telles transmissions et en conserve les originaux, a envoyé la cassette en PAL. Là aussi les scènes de la lévitation sont bien présentes, mais à leur insu puisqu’ils avaient reçu l’ordre de ne pas diffuser ces photogrammes (comme il en ressort de la correspondance citée sur le site).
L’objection selon laquelle le phénomène a été monté ou produit dans un laboratoire tombe.
L’épisode particulier a été fixé par la caméra, spectateur objectif et désintéressé.
Dans le contexte de la célébration liturgique et de la réalité chrétienne qui proclame le « Mystère de la foi » à chaque Eucharistie, ce « signe » a sa propre valeur et son explication.
Celui qui ne connaît pas les données de la foi et veut consulter et s’informer sur ce que le Magistère croit et propose sur l’Eucharistie, peut lire le chapitre du Catéchisme de l’Eglise Catholique ou demander des explications à des personnes qualifiées et ayant autorité.
Tout phénomène visible et vérifiable, surtout un phénomène comme celui rapporté dans le site, doit être examiné avec une méthode scientifique, et si possible avec un esprit libre de tout préjugé. Il est souhaitable que quelqu’un décide de se rendre compte de la façon dont les faits se sont produits ou quelle explication donner à leur existence réelle, en essayant de maintenir la conformité à la réalité. Dans des cas similaires, comme cela s’est déjà produit pour ce même phénomène, il est difficile de réussir à garder le caractère concret de l’observation, comme un véritable enquêteur impartial, et de l’unir à l’honnêteté et à l’ouverture d’esprit pour accepter les faits qui ne peuvent être niés, en formulant des hypothèses d’explication aussi plausibles et solides soient-elles.
Souvent, la compréhension de la réalité nous dépasse et nous avons besoin des autres, d’un autre, le “Bâtisseur”, qui nous explique l’œuvre qui révèle son plan.